Le réseau Cap sur l’indépendance (RCI) et la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJB) appuient le grand rassemblement du Jour de la Terre le 22 avril prochain. Ils invitent tous leurs membres à y participer activement et à apporter leurs drapeaux. Cette immense manifestation est un appel à toutes les Québécoises et tous les Québécois qui ont à cœur la défense du bien commun, la protection des ressources naturelles ainsi que le partage équitable et le développement durable des innombrables richesses que compte le pays du Québec, le tout dans le respect des nations autochtones.

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« Il sera important d’être là, explique Mario Beaulieu de la SSJB, parce qu’il y a beaucoup de décisions néfastes pour le Québec qui se prennent présentement au-dessus de nos têtes et sans notre consentement. Pour ce qui est du respect de la terre, deux visions s’affrontent : pendant que le Québec poursuit ses efforts pour réduire de 20% d’ici à 2020 ses émissions de gaz à effet de serre (GES), le Canada se retire de Kyoto et investit des milliards pour encourager l’exploitation sauvage des sables bitumineux. En augmentant de façon indécente ses émissions de GES, le Canada se moque des pénalités qui lui seront imposées à titre de pays délinquant, ce qui nuira considérablement aux exportations des industries manufacturières québécoises, notamment en Europe ».

« Parmi les richesses à protéger, il y a la langue et la terre commune aux Québécois, poursuit Maxime Laporte, coordonnateur du RCI. Pour faire la promotion de la langue française, il est reconnu depuis longtemps qu’on ne peut pas faire confiance au reste du Canada. Il ne faut compter que sur nous-mêmes. Quant à l’exploitation durable de nos ressources naturelles, elle ne pourra se faire que lorsque nous serons maîtres de nos propres politiques et de nos propres lois. Pour bien défendre notre  terre, il faut viser l’avenir, il faut viser l’indépendance».