Une excellente table ronde organisée par les Intellectuels pour la souveraineté, avec Jean-François Payette, Robert Comeau et Jean Lortie, ce lundi 3 février dès 19h00 au 1430, rue Saint-Denis Pavillon Athanase-David de l’UQAM salle D-R200 Montréal (Québec) H2X 3J8

It may help to take an ibuprofen tablet or two (with meals) 24 hours before your menstrual period. The next important factor to consider is the adverse effect quanto dura leffetto di cialis da 10 mg or side effect of the drug. Participants reported whether they were sleepy, alert or both, and reported their habitual caffeine and alcohol intake.

Getting it all off so quickly—you just have to take. The side effects of your topical treatment may include redness, itching, swelling and burning of the skin, skin irritation, or rashes jazzily viagra con o senz prescrizione that may last for days or weeks. I have not used the product before and i think the price is fair.

Page Facebook de l’événement

L’État est un instrument puissant de développement et de progrès pour la vie heureuse de la cité, affirma autrefois Aristote. À trois reprises, le peuple québécois a pensé se donner un tel appareil social — avec les Patriotes (1830-1838) et avec le mouvement souverainiste créé par René Lévesque (référendum de 1980 et référendum de 1995) — et à ces deux occasions, des forces contraires se sont employées à l’égarer en le poussant à l’inaction collective, au suicide politique. Trois échecs historiques qui ont nourri, avec le temps, un pli culturel inhibiteur de l’action. Intériorisé, ce pli culturel amène les Québécois à se laisser dominer politiquement par une autre nation, les convainc de remettre la richesse qu’ils produisent en des mains étrangères, les persuades de vivre en déshérités du monde en abdiquant collectivement leur responsabilité de collaborer à une humanité qui se fait.


*Comment expliquer l’aveuglement du peuple québécois devant cette subordination politique?

*Cette subordination politique qui conduit ce peuple à une sorte de rupture avec la réalité du monde par la faiblesse de l’emprise qu’elle exerce sur lui peut-elle expliquer son indétermination et ses peurs?

*Comment comprendre le déni d’une partie importante de sa population du péril culturel et économique que lui fait courir son adhésion à cette subordination politique? 

*Une nation qui rejette d’agir par soi pour soi peut-elle encore donner un sens à son existence et ne pas être aussi tentée par le suicide culturel?

Le 3 février prochain, les IPSO offrent une occasion inédite d’échanger sur cette problématique avec:

Jean-Francois Payette, politologue, co-auteur de Ce peuple qui ne fut jamais souverain

Robert Comeau, professeur associé, Département d’histoire, UQAM

Jean Lortie, secrétaire général de la Confédération des syndicats nationaux (CSN) 

Animation: Gérald McNichols Tétreault, président intérimaire des IPSO
Renseignements: 438-764-8523

***

Crédit affiche: Mathieu Gagnon