On entend souvent que l’action non-violente est inefficace, alors qu’on remet rarement en question l’efficacité de la résistance armée et de la guerre de guérilla. Pourquoi? Quand une opération non-violente déçoit, tout le choix stratégique de l’action non-violente se trouve discrédité. Quand un groupe de guérilla s’avère un échec, on y voit rarement la preuve que le recours au terrorisme ou à la guerre armée constitue un choix stratégique futile.

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Si un seul cas de lutte non-violente — ou pire, un éventail réduit de tactiques non-violentes (manifestations, boycotts) — subit un revers, ses critiques y voient tout de suite la preuve que l’action non-violente est dénuée d’intérêt stratégique. D’autre part, quand un mouvement armé ne donne aucun résultat, on impute toujours l’échec à un contexte bien précis, aux tactiques utilisées, à la sévérité de la répression, à des facteurs externes, etc.

Et c’est ainsi que des attentes irréalistes sont imposées à l’action non-violente sans que des attentes semblables ne plombent l’option tout entière de la résistance violente. Il semble que l’action non-violente doive réussir parfaitement et produire en tout temps des résultats impeccables avant qu’on ne puisse la considérer comme une option viable. Inversement, l’idée généralement admise que la violence est plus efficace ne requiert quant à elle aucune preuve.

Fausse logique que celle-là. Deux poids, deux mesures. Tant que des critères plus sévères serviront à mesurer l’efficacité de la technique non-violente, l’option violente semblera toujours offrir un recours plus efficace. Il est grand temps d’exiger les mêmes normes pour juger des mérites respectifs de la lutte non-violente par rapport à la lutte violente, pour mesurer succès et insuccès en fonction des conditions réelles du conflit.

Or, on commence enfin à publier des études statistiques sur l’efficacité relative de la résistance selon qu’elle est violente ou non-violente. Fait à noter, ces études révèlent que les campagnes menées par des populations civiles faisant usage d’«armes» non-violentes (grèves, boycotts, manifestations, désobéissances civiles, structures parallèles, etc.) affichent un taux de réussite supérieur à celles ayant recours à la guerre de guérilla ou aux attentats terroristes.

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