C’est en s’interrogeant sur les moyens de faire revivre l’espoir d’un Québec indépendant que les auteurs Léa Clermont-Dion et Félix-Antoine Michaud ont eu l’idée de donner la parole à de jeunes citoyens pour qu’ils s’expriment sur le sujet.

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Lettres à un souverainiste

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Par Daniel Daignault / Agence QMI  | Journal de Montréal

 

Lettres à un souverainiste réunit donc dans un même ouvrage onze citoyens de divers horizons qui ont pris la plume pour parler de leur vision de l’avenir du Québec.

Ce livre publié chez VLB éditeur a été lancé mardi soir au Monument-National en présence de nombreux invités de divers horizons.

Le comédien Yves Jacques, un souverainiste de la première heure, n’avait pas encore pris connaissance du livre, mais était ravi par l’idée.  «Je trouve ça très bien que des jeunes prennent la parole sur le sujet, que ce ne soit pas encore des baby-boomers qui s’expriment.»

Léa Clermont-Dion, qui a piloté le projet avec Félix-Antoine Michaud, raconte que le projet est né au lendemain des élections d’avril dernier. «On s’est dit qu’il y avait un problème avec la question de l’indépendance et quand un sondage a été publié révélant que les jeunes n’étaient pas vraiment souverainistes, ça m’a agressé. Il y a des jeunes qui y croient, c’est une idée qui se tient et nous avons décidé de faire ce livre en rassemblant des jeunes qui sont stimulants.»

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Parmi ceux-ci, on retrouve notamment l’humoriste Kim Lizotte, l’avocat comédien et concepteur Martin Proulx, ainsi que la comédienne Léane Labrèche-Dor. «La seule manière pour que ça arrive vraiment est d’en parler d’une autre façon, qu’on en parle aux jeunes d’une autre manière et qu’on propose de nouvelles stratégies. Il y a des moyens d’arriver à quelque chose si on se parle plus» ajoutait Léane Labrèche-Dor.

Au nombre des invités, on remarquait notamment Julie Snyder qui était présente par amitié pour Martin Proulx, l’un des auteurs du livre qui est notamment avocat aux Productions J.  «J’avais 9 ans quand René Lévesque a été élu, je me souviens très bien de ce soir-là, confiait-elle. En 1980, je n’avais pas encore droit de vote, mais j’étais au centre Paul-Sauvé et je l’ai entendu dire “…à la prochaine fois”», rappelait l’animatrice.

«Le geste et le mouvement sont intéressants. C’est l’fun de voir une vraie deuxième génération assumée qui amène ainsi la réflexion» ajoutait Marc Labrèche.

Kim Lizotte, humoriste et l’une des auteures de ce livre, avoue que ce projet est arrivé à point dans sa vie.  «Quand on m’a approchée, j’étais en train de tomber dans un cynisme incroyable et je voulais prendre une pause de militantisme. Cette proposition d’écrire une lettre m’a redonné l’espoir et le goût d’en parler. Ça a fait en sorte que je me sente moins seule à penser comme ça.»

 

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