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MONTRÉAL, 14 octobre 2012 – À l’occasion du Sommet mondial de la Francophonie à Kinshasa au Congo, le réseau Cap sur l’indépendance (RCI) questionne le rôle joué par Ottawa au sein de la Francophonie et à l’international, notamment par rapport aux pays africain.

Lors du Sommet, le gouvernement Marois, constatant le désengagement du Canada envers l’Afrique francophone au plan de l’aide internationale (ACDI)[1], a manifesté le souhait que le Québec occupe cette place laissée vide, selon une récente déclaration de la première ministre. Malheureusement, le Québec n’a que les moyens d’un état provincial pour remplir les obligations internationales d’une nation développée. Il ne peut non plus intervenir sur la question de la place permanente de l’Afrique au sein du Conseil de Sécurité des Nations unies[2], chose à laquelle le Canada s’oppose avec véhémence, confortant ainsi la position des États-Unis d’Amérique.

Maxime Laporte, coordonnateur du réseau Cap sur l’indépendance, a tenu à souligner : « La démonstration est de nouveau faite qu’Ottawa est une nuisance au rayonnement et au développement du Peuple québécois. Un Québec indépendant aurait cent fois plus de pertinence au sein de la Francophonie que le pénible État canadien, résidu de l’empire britannique. Au reste, la place du Canada au sein de cette instance internationale n’est pas légitime. Comment cet État peut-il prétendre défendre le français, alors que pendant plus d’un siècle il a mené une politique d’éradication de la langue française en soutenant les gouvernements du Nouveau-Brunswick, d’Ontario et du Manitoba qui ont interdit l’enseignement du français sur leur territoire et cela jusque dans les années 60, et c’est sans parler de tous les jugements de la Cour suprême qui ont charcuté la Charte de la langue française depuis son adoption. »

Aujourd’hui, le Canada ferme des ambassades et dirige ses commettants auprès des ambassades britanniques, ayant passé une entente auprès du Royaume-Uni pour le représenter.

« Profondément incrusté et amalgamé au monde anglo-saxon, le gouvernement du Canada ne saurait aucunement représenter les Québécois auprès d’aucune instance internationale. Vivement que le Québec parle de sa propre voix en décrétant son indépendance le plus tôt possible ! », a ajouté monsieur Laporte.

Créé en 2009, le réseau Cap sur l’indépendance rallie plus de 25 organismes citoyens indépendantistes.

 

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Renseignements :

Maxime Laporte

Tél. : 514-344-2797 ou 514-843-8851

Courriel : coordonnateur@capsurlindependance.org

Site Internet : www.capsurlindependance.org



[1] http://www.ledevoir.com/politique/quebec/361378/marois-lorgne-la-place-du-canada-en-afrique

[2] http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-canadienne/201210/14/01-4583140-francophonie-marois-silencieuse-sur-un-enjeu-important.php