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Les actes francophobes se multiplient. La ministre du Patrimoine, Mélanie Joly, reconnaît que les Québécois peuvent faire l’objet de propos « inacceptables » et parfois « discriminatoires » au Canada – dans les médias sociaux, la presse anglophone ou ailleurs…

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Le mouvement Impératif français remonte au front pour dénoncer les attaques malveillantes envers les francophones et leur langue, le français, seule langue officielle du Québec depuis l’adoption de la loi 22 par le gouvernement de Robert Bourassa, en 1974, et relance la campagne contre la francophobie et l’anglomanie.

Pourquoi? Parce que partout au Québec, au Canada et ailleurs dans le monde les actes francophobes se multiplient dans un environnement où la déification de l’anglais passe par une vénération excessive du bilinguisme, et ce, au détriment du respect des droits linguistiques fondamentaux des francophones.

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En outre, sur le sol québécois, les marques de francophobie prennent des formes diverses, que ce soit par l’utilisation outrancière de marques de commerce unilingues anglaises comme noms d’entreprise, par la place prépondérante de l’anglais comme langue de travail dans les entreprises et dans les grands chantiers de construction, par le refus d’apprendre et de parler français, par l’anglicisation des institutions publiques encouragée notamment par des élus et des fonctionnaires qui veulent imposer l’anglais au Québec.

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Bien sûr, pour contrer ces affronts linguistiques qui débouchent inévitablement sur la francophobie il faudrait pouvoir compter sur un Office québécois de la langue française doté de véritables pouvoirs en matière de traitement des plaintes, mais surtout sur un Office doté d’une politique de suivi des plaintes qui encourage l’engagement citoyen plutôt que la démobilisation citoyenne au centre d’une bureaucratie aliénante.

Dans ce contexte, Impératif français croit qu’il est essentiel de relancer sa campagne contre la francophobie, francophobie malheureusement toujours omniprésente, telle qu’illustrée précédemment de façon on ne peut plus claire et significative ainsi que par de nombreux exemples dans le site d’Impératif français. En guise de conclusion, le président d’Impératif français, Jean-Paul Perreault, affirme : « le gouvernement actuel faillit, lui-même, à la tâche, puisque son premier ministre, qui voue un culte malsain à l’anglais, refuse lui-même de parler français ou banalise le français dans ses discours à l’extérieur du Québec et que son ministre des Affaires gouvernementales canadiennes et de la Francophonie canadienne refuse de réclamer que les entreprises de compétence fédérale respectent la Charte de la langue française au Québec. ».

 

 

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